Les premiers mots de Stéphane Le Diraison et François Guiffant (Time for Oceans)

Stéphane

On avait envie de faire une course rapide pour ce bateau, on avait pris 16 jours et on arrive après 16 jours, les sacs sont vides. Il était temps d’arriver, c’était bien calculé !

François

Super course ! La Manche, le Pot-au-noir, les petits choix tactiques, la super ambiance, on s’est vraiment éclaté. On a trouvé des choses sur le bateau pour le faire avancer plus vite pour l’année prochaine, donc c’est super pour Stéphane.

Stéphane

Quand on était au contact, on tentait des choses, des trucs qui marchaient et qu’on n’aurait pas soupçonné ! Le bateau est contre intuitif parfois. C’est sûr que l’option ouest on l’avait vue depuis le départ, c’est dur parce que d’entrée de jeu c’est plié. Au bout de 24h de se dire qu’on s’est écalé dans l’ouest et qu’on on ne peut plus y aller, ce n’est pas évident. Après, c’est une autre course, essayer de tirer le meilleur de ce décalage.

François

(A propos de sa blessure au doigt) J’ai été puni en entrant dans le Pot-au-noir car j’avais dit qu’il serait facile ! J’ai eu un rappel à l’ordre. C’est un accident idiot, je tirais sur le mauvais bout au mauvais moment, et le taquet n’était pas fermé, donc je suis parti avec.

Stéphane

On a apporté chacun des choses différentes sur la marche du bateau, ça a super bien marché, on s’est épaulé surtout dans le Pot-au-noir, car parfois on s’énerve, il faut se relayer, Fanch m’a apaisé à plusieurs reprises.