L'actualité de la course

Les premiers mots de Miranda Merron et Halvard Mabire Campagne de France (IMOCA)

Les premiers mots de Miranda Merron et Halvard Mabire Campagne de France (IMOCA)

Halvard
C’était sympa ! C’était très très bien, c’est une des transats où j’ai pris le plus de plaisir.

Miranda
C’est vrai qu’on n'avait pas de pression au départ donc on a pris beaucoup de plaisir. J’ai énormément appris ! Il y a encore le retour à faire et après je serais lâchée toute seule. Halvard va me manquer.

Halvard
Je l’ai entraînée, je n’ai rien fait, j’étais à l’arrière, je lui disais un peu plus à gauche un peu plus à droite, de temps en temps je tournais des manivelles. J‘en ai profité pour vous écrire un peu. On est content. C’est une des plus belles transats que j’ai faites. Les conditions étaient sympas. Le fait de partir sans pression de résultats, j’ai eu une autre vision de la course au large. Il a fallu que j’attende plus de 40 ans, et finalement ce n’est pas si mal que ça… Je me posais la question « pourquoi il y en a qui partent sans ambitions de résultat ? ». J’ai la réponse : c’est un plaisir immense… Faut que je vois avec René (Boulaire, le responsable des classements et timing d’arrivée, ndlr), car on a essayé de faire le moins de milles de possible !

Miranda
Campagne de France, c’est un bon bateau solide, il y a quelques améliorations à faire, des voiles de portant, quelques ficelles. J’estime que j’ai beaucoup appris et que je vais encore apprendre sur le bateau pour faire le tour du monde ; c’est un bateau bien construit, je me suis éclatée, même si j’aime avoir des bateaux derrière moi, mais c’est un bon bateau, je n’ai jamais pris autant de plaisir sur une transat !

 

 

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