La Transat Jacques Vabre en temps réel

"Si le bateau se retourne, nous avons des petites fenêtres de sorties qui nous permettent de sortir pour pouvoir être secourus, mais les bateaux sont faits de telle sorte qu’ils ne peuvent pas se retourner." Erik Nigon (La Compagnie du Lit - Jiliti / Imoca)

"Être navigatrice, c’est nouveau pour moi et ça me plaît beaucoup d’apprendre, et de faire une course au large. Dans la course au large, le plus difficile, c'est de trouver des sponsors. La capacité à être un bon marin et la capacité à trouver des sponsors sont deux choses totalement différentes. Il n'y a pas de recettes parfaites pour en trouver.Il faut arriver à les convaincre à leur raconter une belle histoire. Il faut entretenir le lien avec les sponsors. Être présent sur des conférences par exemple." Julia Virat (UP Sailing / Class40)

"Ca n’est pas un sport comme les autres, on se retrouve loin des côtes et on doit être solidaires car lorsqu’on a un problème en mer, ce sont nos concurrents qui nous viennent en aide. A ma première course, un concurrent est tombé à l’eau, tout le monde s'est mis à sa recherche et c’est moi qui l’ai repêché." Paul Meilhat (Apivia / Imoca). 

"Être malade en mer, c’est quelque chose qu’on sait apprivoiser pour pouvoir gérer et ne pas perdre trop d’énergie, c’est un vrai plus d’être en double car l’autre peut nous suppléer. Notre métier c’est de gérer les risques et de ne pas en prendre", Benoît Marie (Les P'tits Doudous / Ocean Fifty), lors la rencontre enfants-skippers au Pôle Molière, ce matin.