L'actualité de la course

Les premiers mots de Simon Koster et Valentin Gautier (Banque du Léman)

Les premiers mots de Simon Koster et Valentin Gautier (Banque du Léman)

Simon : C’est sûr qu’on aurait signé pour cette quatrième place avant le départ. On a compté combien de jours on a navigué avec le bateau avant de partir, c'est inférieur à la dizaine. C’est certain qu’on a appris plus du bateau pendant la transat qu’avant…

Valentin : On a ouvert la caisse à outils deux ou trois quand même. Mais comme le bateau allait très vite derrière ça allait. Dès qu’on avait quelques heures de reaching un peu appuyé, ça nous aidait beaucoup.On a eu du mal à se mettre dans le rythme car on a bourriné pendant des semaines pour être au départ. Au début, ça piquait un peu, on s’est fait cueillir en Manche avec des conditions bizarres de mer au Cotentin. On a perdu un spi d’entrée de jeu mais au bout de deux ou trois jours,

Simon : Le binôme a bien fonctionné, on était pas trop préparé en avance et on a trouvé un rythme assez naturel avec un rythme de 3 heures de quart assez flexible.

Valentin : Le Pot-au-noir pour nous, c’était une nouveauté et on a été bien bizuthés. Ça passait à droite à gauche, de partout. Avant d’entrer, on était encore en mode chasseur, en se disant qu’il y avait peut-être moyen d’accrocher un podium. Une fois sortis, on a déchanté. On s’est dit que si on sauvait une médaille en chocolat , ce serait déjà pas mal.

Simon : Je crois que la bateau a vraiment un beau potentiel. Il nous manqué un peu de temps mais dès qu’on est au travers avec du vent, c’est magnifique. Je suis presque déçu que le bateau ne fasse pas podium. Nous on est des bizuth de la transat, donc quatrième, c’est pas mal mais peut-être que lui méritait mieux. Mais il y en aura d’autres.

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