La Transat Jacques Vabre en temps réel

dimanche 14 novembre
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20h00

Le classement de 20h

Ultime 
1. Maxi Edmond de Rothschild 
2. SVR - Lazartigue 
3. Banque Populaire XI

Ocean Fifty 
1. Primonial 
2. Solidaires en Peloton - ARSEP
3. Koesio

Imoca 
1. Apivia
2. LinkedOut
3. Charal

Class40 
1. Redman 
2. Banque du Léman
3. Edenred
19h46
Imoca

De nouvelles du bord - note vocale depuis Arkea Paprec

"Nous venons de passer à côté des côtes marocaines. C'est assez impressionnant de passer à plus de 20 nœuds à côte des pirogues de pêcheurs, qui ont des petits moteurs et qui sont à plus de 15 milles des côtes. Ils ne sont pas signalés donc c’est assez surprenant. Sinon ça glisse, nous sommes tribord à un mur, le soleil se couche, nous en profitons, les températures sont très convenables et nous nous dirigeons vers le Cap Vert. Au final cette transat nous aura permis de voir un peu toutes les côtes et toutes les îles qui existent en Atlantique, c’est assez sympa.”

Sébastien Simon et Yann Eliès, skippers de l'Imoca Arkea Paprec
19h22
18h25
Imoca
 
18h07
La course est désormais passionnante à tous les étages de l'ascenseur atlantique. Le Pot-au-noir relance - en partie - le suspense en Ultime. Les Ocean Fifty se marquent toujours à la culotte à l'approche du Cap Vert. L'option des côtes africaines pourrait propulser certains Imoca. Et les premiers Class40 vont faire jouer les effets de site aux Canaries.
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18h00

Le classement de 18h

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Ocean Fifty 
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Class40 
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3. Edenred
17h47
Class40

Repas du dimanche

17h34
Imoca
17h26
Class40

Des nouvelles du bord - message depuis Everial

"Une semaine déjà que nous sommes partis du Havre pour traverser l’Atlantique en double avec Mathieu. Cela paraît déjà si loin ! C'était une sensation très étrange de commencer une transat par de la régate côtière. Il fallait être sur le pont, peu dormir et enchaîner ça avec une belle zone de mistoufle qui a mis tout le monde à rude épreuve ! Et c’est bien là la particularité de la course au large. Il y a le talent, l'entraînement, le sens marin, mais aussi une part d’aléatoire. Un petit facteur chance à travailler. Pourquoi j’attrape une risée et pas le voisin à 500m de moi ? À ce jeu-là, cette semaine, il y a eu des heureux et des déçus… Et ça peut paraître parfois injuste… C’est comme quand vous faites la queue pour passer à la caisse depuis 5 minutes, que quelqu’un arrive derrière vous et qu’une nouvelle caisse s’ouvre à côté pile pour lui. C'était un peu ça le golfe de Gascogne.
Nous ça c’est plutôt bien passé pour nous, nous avons accroché le deuxième wagon du petit train. Mais la suite n'est pas simple non plus. Imaginez un peloton de cyclistes qui attaquent un col. Mais là, la montée est plus courte pour les premiers, et la descente plus courte pour les derniers. Bref comme souvent c’est parti vite par devant, et impossible de se refaire dans le même système météo. Voilà un peu le résumé de la semaine côté tactique. La suite, c’est faire de l’ouest puis du sud. Passage intérieur ou extérieur des Canaries. La pression diminue les premiers vont peut-être ralentir… Nous serons le weekend prochain au Cap Vert et là il y aura encore des choix de trajectoire à faire. En tous cas, nous sommes conscients de la chance d’être là et de pouvoir se mettre enfin en mode «large». Le temps s’étire, la nuit aussi. On vit au rythme de l’océan qui nous accueille, bienveillant.”


Stan Thuret et Mathieu Crepel, skippers du Class40 Everial
17h01
16h59
Class40

Des nouvelles du bord - note vocale depuis Crédit Mutuel

"Le vent est devenu léger, il y a encore de la houle et nous nous faisons un peu balloter dans ce vent faible qui nous empêche de descendre convenablement et vite vers les Canaries. Ce n'est pas évident de trouver le bon angle, le bon bord accrochant et la meilleure option pour descendre vite. Ce matin, nous nous sommes fait coller dans une petite bulle qui nous a fait perdre des milles. Nous regardons depuis hier par où nous avons envie de passer par rapport aux Canaries, nous avons déjà une petite idée là-dessus. Nous voudrions être mieux placés que ça. C’est malgré tout un bon point car nous avons vu qu’il y avait eu de gros rebondissements. Nous avons manqué un peu de réussite à la pointe de Bretagne qui nous a coûté cher mais après nous avons réussi à revenir, nous avons fait des bons coups surtout lorsque le vent était plus soutenu. Maintenant, ça commence à partir un peu devant. Nous sommes dans le bon wagon, nous ne sommes pas décrochés, ça nous tire vers l’avant. Evidemment nous voulons faire mieux. La vie à bord se passe très bien, depuis hier nous pouvons commencer à prendre du plaisir, se mettre en t-shirt, passer des nuits supers douces. Alors que le début de course, même si ça n'avait rien de dramatique, était quand même très contraignant. Le lendemain de la pétole nous avions le moral dans les chaussettes, donc c’était dur. Après cette période compliquée, nous avons eu des conditions bien toniques le long du Portugal. Là c’est la première fois depuis une semaine que c'est agréable, il n’y a pas de stress lié à la vitesse, il n’y a pas d’inconfort, il ne fait pas encore trop chaud. Nous avons de la chance d'être là mais nous en aurions encore plus si nous étions là avec 50 milles de plus.”

Ian Lipinski et Julien Pulvé, skippers du Class40 Crédit Mutuel
16h22
Ultime

Des nouvelles du bord - note vocale depuis Maxi Edmond de Rothschild

"Nous sommes les premiers à rentrer dans le Pot-au-noir, ce qui est généralement une bonne nouvelle parce que nous sommes devant, c’est une première victoire mais moi personnellement même si nous avons une bonne avance c’est quelque chose qui me stresse car c’est un truc que nous ne maitrisons pas, nous avons pu voir à la dernière jacques vabre ce qui était arrivé à charal qui avait 150 milles d’avance et qui était repartit avec presque 150 milles de retard. Le Pot-au-noir est souvent très injuste et nous n’aimons pas ça parce que c’est de l’aléatoire mais nous sommes fier de ce que nous avons fait. Nous avons fait une très belle course, c’est revenu plusieurs fois par derrière et avant le Pot-au-noir nous avons réussi à repartir, cette fois-ci avec de la réussite. Le bateau est en bon état et l’objectif c’est de ressortir avec pas mal d’avance. Mais le Pot-au-noir est plutôt fermé devant nous et il à l’air de s’ouvrir un peu plus derrière. Nous sommes juste concentrés pour faire avancer le bateau. La nous n’avançons pas très vite, nous sommes dans les lignes du sujet. Nous sommes un peu arrêtés, nous ne pouvons rien faire et c’est un peu le stress. À bord nous avons internet alors nous suivons les autres classes. Il y a des grosses différences de vitesse et nous ne faisons pas du tout le même parcours alors je ne sais pas du tout, aujourd'hui, qui va arriver en premier en Martinique. Nous ne pouvons pas faire beaucoup plus long que ce que nous avons et le retour n’a pas l’air si simple, mais c’est encore bien loin, nous sommes satisfait du résultat et content d'être là, c’est une belle régate. Tous les bateaux sont au rendez-vous mis à part nos amis de Sodebo qui ont eu quelques malheurs. Tout le monde à l’air d’avoir son bateau en bon état. En tout cas le notre est plutôt pas mal, nous sommes rarement arrivé à l’équateur avec un bateau aussi propre donc c’est satisfaisant, bravo à toute l'équipe. La c’est paisible, nous avons fait une petite vérification du bateau, pas de problèmes majeurs, nous souffrons de la chaleur. Nous avons fait la belle rencontre d’un catamaran qui est venu nous voir, un monsieur de la Rochelle, un italien qui est un convoyeur professionnel. Ils étaient contents de nous rencontrer. Le bilan est très bon, nous nous comprenons bien, ça se voit que ça fait 3 ans que nous travaillons ensemble, nous connaissons le bateau par cœur. Notre équipe à terre, de routage, est fantastique, c’est le résultat de trois ans de travail avec tout le monde qui font que tout se passe bien et que tout est fluide. Franck dort mieux que d’habitude donc c’est un signe qu’il me fait confiance."

Chrles Caudrelier, skipper de l'Ultime Maxi Edmond de Rothschild
15h10
15h00

Le classement de 15h

Ultime 
1. Maxi Edmond de Rothschild 
2. SVR - Lazartigue 
3. Banque Populaire XI

Ocean Fifty 
1. Primonial 
2. Solidaires en Peloton - ARSEP
3. Koesio

Imoca 
1. Apivia
2. Charal
3. LinkedOut

Class40 
1. Redman 
2. Banque du Léman
3. Edenred
14h56
Imoca

Des nouvelles du bord - note vocale depuis Kostum - Lantana Paysage

"Il fait grand beau temps, il manque un peu de vent mais nous avons plutôt bien été servi jusque-là, nous glissons bien. Nous passons actuellement dans les îles des Canaries entre Grande Canaria et Fuerteventura. Nous sommes en 13ème position ce qui n’est pas trop mal pour une première avec ce bateau. C’est une machine de guerre, nous découvrons petit à petit sa puissance et son utilisation, on commence à voir ce qui marche et ce qui marche moins bien. Avec certaines voiles nous allions bien en début de course et à d’autres moments moins donc nous découvrons pleins de choses. Il fait chaud, c’est agréable. Maintenant nous sommes morts de chaud dans nos bateaux en carbone. Vivement les Antilles avec une chaleur qui sera plus agréable. Ça se passe très bien, nous ne nous tapons toujours pas dessus, nous arrivons à peu près à vivre ensemble, tout va bien. Louis s’occupe plutôt de la tactique, de la météo, et moi je m’occupe de tout le reste. La décision finale lui revient car c’est son bateau et son projet mais nous pouvons discuter de tout.”

Louis Duc et Marie Tabarly, skippers de l'Imoca Kostum - Lantana Paysage
14h33
Class40

Des nouvelles du bord - note vocale depuis Equipe Voile Parkinson

"Sur un plan physique tout va bien, mentalement je crois que tout est bon aussi (rire). La vie à bord n’est pas trop compliquée vu les conditions et le rythme à été pris assez vite. Nous avons quand même accumulé pas mal de fatigue ces derniers jours à cause des événements de début de parcours, mais maintenant nous nous sommes bien reposés et nous sommes prêts pour la suite. J’appellerai plutôt le petit coup de blues, un coup de massue ! Mais c’est derrière nous et nous sommes là pour aller au bout et remonter le plus de places possible ! Le plan pour la suite c’est de faire un ou deux empannages le long du Portugal puis faire route au sud-ouest pour dépasser Madère le 16 Novembre, dans la journée. La remontada s’est un peu calmée je crois. Comme nous le disions, nous ne réalisons pas la course que nous avions imaginée…”

Florian Gueguen et Raphael Auffret, skippers du Class40 Equipe Voile Parkinson
14h27
Ocean Fifty

Des nouvelles du bord - note vocale depuis Arkema 4

"Nous avons environ 20 nœuds de vent, ça glisse bien. Il y a des empannages à trouver avec le vent qui commence à prendre du nord petit à petit, nous sommes en train de regarder comment passer le mieux le Cap Vert et le Pot-au-noir. Nous faisons en sorte d’avancer le plus vite possible et d’essayer de rattraper nos concurrents qui ne sont pas très loin sur mon écran mais qui le sont un peu plus sur l’eau. Ils ne lâchent rien, ils vont vite, ce n'est pas facile mais nous donnons le maximum. La flotte est très serrée, c’est beau à voir sur la cartographie, nous voyons qu’il y a une petite bataille de jeu d’empannage pour passer le Cap Vert. Le but est d'être au bon endroit, le placement n’est pas simple à choisir mais il ne faut pas se faire piéger. Il y en a qui vont plus à l'ouest que d'autres, différentes stratégies se mettent en place, nous en étant derrière, nous allons essayer de provoquer un peu plus notre chance, toute façon à un moment il va falloir revenir sur ceux de devant, parce qu’ils ne nous attendent pas, ils naviguent vites. Il y a du match. Cela fait une semaine que nous sommes partis, il y a eu un très beau départ, c’était top d’avoir des conditions comme celles-ci. Puis un golfe qui n’a pas été facile avec nous, avec beaucoup de molle puis une météo un peu compliquée, nous n’avons jamais été dans les bons coups, nous avons perdu un peu de temps. Aujourd’hui nous sommes content de glisser sous le soleil, d’aller vite et de rattraper au maximum ce que nous pouvons sur nos concurrents et nous sommes très motivés et très concentrés pour revenir au plus vite sur la tête de la course.”

Quentin Vlamynck et Lalou Roucayrol, skippers de l'Ocean Fifty Arkema 4
14h18

Vacation vidéo avec Yannick Bestaven (Maître Coq IV)

12h30
Imoca

Des nouvelles du bord - message de Compagnie du Lit - Jiliti

"Notre objectif c'est de pouvoir partir à l'Ouest (là où il y a la dépression qui gêne si vous suivez) à un moment ou un autre car le passage du Pot-au-noir (au niveau de l'équateur donc 2000 milles au sud) c'est généralement entre 25 et 30° de longitude Ouest et là nous sommes aux Canaries. Et… il n’y a pas de vent à l'ouest mais alors pas du tout !!!! En tout cas sur les modèles de nos farceurs de prévisionnistes car si ça se trouve il y a du vent mais personnes ne peut aller vérifier (est ce qu'il n'y aurait pas un complot des météorologistes avec les médias et surtout vous tous pour faire durer cette transat encore plus longtemps pour voir les vidéos de vos marins affaiblis amaigris en train de se courser sur le bateau un couteau à la main pour manger l'autre ? Je rappelle à Clément que pour valider notre arrivée il faut être deux vivants et entiers. Ce dernier point n'étant hélas pas précisé dans les instructions de course !) À ça y est je me disperse encore, il faut dire que là nous sommes à 7 nœuds pour autant de vent sous grand spi et il faut s'occuper l'esprit.
Donc il va falloir faire de l'Ouest quand un chemin va s'ouvrir. Le plus probable sera au niveau de l'archipel du Cap Vert. Couper plus Sud commencera à être risqué car nous rentrerons dans des vents encore plus erratiques. En attendant nous allons passer entre les Îles des Canaries en essayant de se faufiler entre les vents des volcans et longer les côtes d'Afrique et de Mauritanie, en particulier jusque vers la Frontière avec le Sénégal, là nous devrions avoir un peu d'air au vent arrière pour quelques jours. Nous vous tiendrons au courant (d'air...).
Belle journée. Nous nous ne lâchons rien sauf quelques bons éclats de rire. Surtout prenez bien soin de vous et la bise à tous les militants de AIDES qui font un travail incroyable malgré la pandémie de Covid. Pour nous ça fait 7 jours sans masque et nous vous embrassons."


Clément Giraud et Erik Nigon, skippers de l'Imoca  Compagnie du Lit - Jiliti
12h22
Chaque midi, retrouvez ici le plus joli message du bord envoyé par les skippers, ainsi que le décryptage de la direction de course.
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12h14
Ultime
Ça y est le premier bateau est entré dans le redouté Pot-au-noir !
Ici le tracé de cette nuit de Franck Cammas et Charles Caudrelier, à bord de l'Ultime Maxi Edmond de Rothschild.
11h51
Imoca

Vacation vidéo avec Yannick Bestaven à 12h45

Retrouvez la vacation vidéo avec Yannick Bestaven (Maître Coq IV), en "Premiere" à 12h30, sur la page Facebook et sur la chaine YouTube de la Transat Jacques Vabre.
11h46
Class40

Des nouvelles du bord - message d'Entraide Marine

"Tout va bien à bord. Une journée assez simple, du portant entre 13 et 17 noeuds de vent c'est plutôt sympa. Nous avons 3 adversaires qui nous occupent car il ne se laissent pas faire. Le bateau et son équipage sont en formes. La gestion du sommeil se met en place sur un rithme long, il faut tout le temps ajuter temps de sommeil et disponibilité, c'est un équilibre très précaire."

Nicolas Lemarchand et Thimoté Polet, skippers du Class40 entraide Marine
 
11h28
Imoca

Des nouvelles du bord - message depuis Laboratoires de Biarritz - No Limit 4 Us

"Deviner les halos de Madère, 
empanner et s'en écarter,
c'est l'inverse d'un samedi soir sur la terre, 
voir de la lumière quelque part,
pousser une porte au hasard, 
et refaire le monde jusqu'au bout de la nuit
."

Denis Van Weynbergh et Tanguy Le Turquais, skippers de Laboratoires de Biarritz - No Limit 4 Us.
11h08
Class40

Des nouvelles du bord - message depuis Milai

"Nous sommes comme sur un tapis volant ! Après la mer formée de ces 2-3 derniers jours, naviguer sur une mer quasi plate, juste avec un peu de houle fait l'effet tapis volant. Comme prévu le vent a bien molli, 12 noeuds environ, avec quelques nuages formés mais peu actifs. La plus grande partie de la flotte pointe son étrave vers le sud. C'est course de tapis volants du coup ! Mais Aladin a des crampes dans le dos à force de barrer avec la tête à 90 degrés du corps. Il faut se préserver, ce bord va durer 1078 milles ... !
Nous essayons de regarder à quoi allaient ressembler les alizés, dans une semaine environ après le passage du Cap Vert. Et bien ce n'est pas brillant brillant... Nous ne sommes pas près d'arriver avant les Ultimes...
Hier soir, info pas très fraiche, Anne a vu une météorite orange traverser le ciel en faisant des rebonds sur l'atmosphère.
Aujourd'hui il y a l'un d'entre nous deux qui a pris la première douche, devinez le(la)quel(lle) ?
Le(la) deuxième a hâte d'y passer aussi !
Bien à vous la Terre,  et à vous les studios !
"

Masa Suzuki et Anne Beaugé, skippers du Class40 Milai.
11h00

Le classement de 11h

Ultime 
1. Maxi Edmond de Rothschild 
2. SVR - Lazartigue 
3. Banque Populaire XI

Ocean Fifty 
1. Primonial 
2. Solidaires en Peloton - ARSEP
3. Koesio

Imoca 
1. Apivia
2. Charal
3. Initiatives-Coeur 

Class40 
1. Banque du Léman
2. Redman 
3. Edenred 
 
10h14
Imoca
09h33
Il y a une semaine, 79 bateaux prenaient le départ de cette inédite Transat Jacques Vabre. Une semaine où les quatre classes ont fait route commune, avant que les chemins ne se séparent. Les Ultimes continuent vers le sud pour virer Trindade et Martin Vaz, quand les OceanFifty se recalent à l’ouest pour passer le Cap Vert. Soumis au même parcours, les Imocas, eux, longent l’Afrique et décident d’une stratégie à l’est pour négocier ces îles. Plus étendue, la flotte des quarante pieds progressent le long des côtes portugaises et marocaines, suivent les alizés et font route directe, vers la Martinique. 

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09h21
Class40

Des nouvelles du bord - message depuis Crosscall

"Sentiments mitigés à bord de Crosscall. Suite à la perte de notre grand spi hier, nous devons nous battre avec les armes qu'il nous reste. Et si nous regrettons de ne plus disposer de notre plus grande voile au moment où nous en aurions le plus besoin, nous nous employons à trouver les meilleurs réglagles, et nous sommes plutôt contents des vitesses que  nous réussissons à maintenir.
Alors à la fois pour fêter ça et pour garder le moral, nous nous sommes préparés une petite fondue à bord ce soir... Si si, une vraie, avec ail, vin blanc  etc... Nous ne renions pas nos origines ! En plus c'était bon, et il restait même un peu de vin pour la soif, car l'eau ça fait des boules avec le fromage dans le ventre et c'est très mauvais pour la digestion. Et nous ne rigolons pas avec la diététique à bord de Crosscall !
Pour les gages suite à la perte des bouts de pain, ce qui se passe à bord, reste à bord..
."

Aurélien Ducroz et David Sineau, skippers du Class40 Crosscall.
08h32
Class40

Des nouvelles du bord - message depuis La Boulangère Bio

"Encore une chouette journée de boulot aujourd'hui, glissades et bonne ambiance à bord de La Boulangère BIO.
Côté glissades nous noterons quand même que le vent commence à bien se casser la figure. Nous allons donc nettement moins vite depuis quelques heures.
Sinon nous nous faisons des noeuds au cerveau sur la route à suivre, nous avons décidé de se placer un peu plus à l'ouest que nos collègues ces dernières heures. Nous avons hâte de voir ce que cela va donner (en attendant nous cravachons pour faire avancer le bateau, ce qui n'est pas forcément simple sous spi lorsqu'il reste un peu de mer comme cette nuit mais que le vent faibli).
La lune vient de se coucher, j'y vais aussi !"


Amélie Grassi, skipper du Class40 La Boulangère Bio
08h07
Ocean Fifty

Des nouvelles du bord - message depuis Arkema 4

"Le bonjour d'Arkema 4, qui a enfin retrouvé du vent après une journée compliquée hier... Pas mal de vents faibles...
Tout va toujours très bien à bord, les quarts s'enchainent en essayant de battre le collègue à la barre. 
Cette nuit c'était glissade sous les étoiles, nous n'allons pas nous plaindre. 
À nous maintenant d'être meilleurs et de rattraper nos concurrents, nous sommes remontés à bloc en tout cas !
"

Quentin Valmynck, skipper de l'Ocean Fifty Arkema 4.
07h45
Class40

Des nouvelles du bord - vacation de 5h00UTC depuis Redman

"Tout va bien, nuit étoilée qui nous permet de bien voir nos concurrents. Les conditions ce sont bien calmées, 12 à 13 noeuds de vent, plus de vague, c’est grand confort à bord ! Nous avançons autour de 9 et 10 noeuds, ça n’est pas très rapide mais les dernières heures ont étés tellement sportives...

Nous étions en train de regarder pourquoi nos routes sont si différentes avec celles de nos concurrents. Nous allons prendre la décision de notre route vers les Canaries dans la journée, il va falloir choisir le bon pour ne pas être piégé. Nous avions un peu arrêté de surveiller Volvo, je ne l’ai même plus sur le routeur. Trop à l’ouest il y a trop peu de vent, il faut réussir à aller pile dans le petit couloir, mais sa position peut être très intéressante. 

L’ambiance est très bonne à bord et nous avons pu mieux dormir, 3h d’affilé ! J’ai l’impression d’avoir fait une nuit de 10h ! Mais nous n’allons pas récupérer tout notre manque de sommeil grâce à ces trois belles heures là. 

Nous sommes plutôt contents, les conditions étaient favorables pour nous jusqu’à il y a 4h ou 5h. Nous allons nous accrocher dans la molle et être patients pour que le vent revienne. Sinon la cohésion d’équipe est parfaite, nous avons les mêmes façons de régler le bateau et sommes bien vigilants pendant les quarts. Nous devons faire un choix dans la prochaine heure et une fois qu’il sera fait les dés seront jetés comme on dit."

Antoine Carpentier, skipper du Class40 Redman.

07h30
Imoca

Des nouvelles du bord - vacation de 4h50UTC depuis Charal

"Tout va bien à bord. Nous avons retrouvés nos amis hier dans la journée, nous sommes à vue depuis hier soir donc c’est cool. Notre objectif était de revenir sur le paquet de tête, c’est chose faite. Mais la route est encore longue et il reste beaucoup de choses à jouer. L’important est de ne pas être trop loin de la tête de course pour être en mesure de bien jouer les coups. 

Nous sommes encore en questionnement concernant la route vers le Cap Vert puis le Pot-au-noir, nous naviguons au jour le jour au gré des bascules. Rien n’est décidé pour le moment en tout cas. C’est encore loin et il faut attendre l’arrivée des fichiers météo puis les analyser afin de trouver la route la plus intéressante. Nous nous aidons d’ailleurs beaucoup des Ocean Fifty qui sont juste devant. 

Les premiers jours étaient un peu compliqués, d’autant plus qu’il faut se mettre dans le rythme, quitter la vie de terrien. Depuis quelques jours nous récupérons bien, malgré les manœuvres nécessaires. Nous pouvons également nous balader sur le pont ce qui est rare pour ce type de bateau, c’est l’avantage d’une course au ralenti. 

Nous essayons d’exploiter au maximum le potentiel de Charal et chaque minute passée sur l’eau nous apprenons et découvrons de nouvelles choses. Le fait d’être au contact nous permet aussi de progresser et nous essayons d’en tirer la quintessence. Nous sommes dans la recherche perpétuelle de compromis pour descendre vers le sud. Le bateau est polyvalent, nous avons un bon groupe avec Apivia et LinkedOut, nous allons essayer de nous caler sur eux en terme de vitesse."

Christopher Pratt, co-skipper de l'Imoca Charal.

07h15
Ocean Fifty

Des nouvelles du bord - vacation de 4h30UTC depuis Leyton

«Nous sommes actuellement au portant sud-ouest pour aller chercher nos copains qui ce sont échappés. Le Pot-au-Noir est très actif donc c’est difficile de savoir quoi faire pour cette prochaine étape qu’est le Cap Vert. Mais nous n’avons même pas fait la moitié de cette Transat donc nous n’allons pas non tout risquer pour rattraper les autres.

Le bateau va bien et nous découvrons pas mal de choses sur cette transat, il faut trouver de bonnes moyennes. Le bateau est homogène, les vitesses sont moindres que dans d’autre classes. Mais nous sommes tout de même très rapides il y a un grand nombre d’écart de milles. 

Ces derniers deux - trois jours étaient plus reposants car moins de manœuvres et de changements de voile, après même quand nous ne manœuvrons pas sur ce type de bateau ça n’est pas de tout repos. Grâce aux quarts nous pouvons nous reposer mais il faut rester vigilant. D’ailleurs c’est changement de quart donc Aymeric peut vous dire deux mots »

Sam Goodchild, skipper de l'Ocean Fifty Leyton.

07h00

Le classement de 7h

Ultime 
1. Maxi Edmond de Rothschild 
2. SVR - Lazartigue 
3. Banque Populaire XI

Ocean Fifty 
1. Primonial 
2. Koesio 
3. Solidaires en Peloton - ARSEP

Imoca 
1. Charal
2. LinkedOut
3. Apivia

Class40 
1. Redman 
2. Edenred 
3. Banque du Léman