La Transat Jacques Vabre en temps réel

mardi 23 novembre
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23h56
Ultime

Les arrivées au ponton de SVR - Lazartigue puis Banque Populaire XI en direct

Rendez-vous sur la page Facebook de la Transat Jacques Vabre
23h18
Ultime

SVR - Lazartigue deuxième Ultime de la Transat Jacques Vabre

Ce mardi 23 novembre, à 18 heures 13 minutes et 11 secondes en Martinique (23 heures 13 minutes et 11 secondes, heure métropolitaine), François Gabart et Tom Laperche ont franchi la ligne d’arrivée de la 15ème édition de la Transat Jacques Vabre Normandie Le Havre en deuxième position de la catégorie Ultime. SVR - Lazartigue aura mis 16 jours 9 heures 46 minutes et 11 secondes pour parcourir les 7500 milles théoriques depuis Le Havre à la vitesse moyenne de 20,09 nœuds, mais il a réellement parcouru 9333,08 milles à 23,70 nœuds. Son écart au premier, le Maxi Edmond de Rothschild, est de 7 heures 56 minutes 55 secondes.
23h05
Ultime
A 17h13 (soit 22h13 en métropole), le trimaran SVR - Lazartigue a coupé la longitude du Rocher du Diamant. François Gabart et Tom Laperche filent désormais vers la ligne d'arrivée dans la baie de Fort-de-France, et décrocheront bientôt la deuxième position du classement Ultime. 

Le maxi Banque Populaire XI d'Armel Le Cléac'h et Kevin Escoffier, devant SVR - Lazartigue encore hier, est arrivé à la hauteur du Diamant 37 minutes plus tard, à 17h50 (soit 22h50 en métropole).
21h43
Ocean Fifty

Les premières déclarations d'Armel Tripon et Benoit Marie (Les P'tits Doudous)

Armel Tripon
"Match-race sur la fin, c'était super sympa, un peu de piment sur l'arrivée. Ca remotive toujours d'avoir un bateau à côté. C'était très intense cette fin de course.
Nous sommes allés vite tout le temps. Il y a eu plein de super moments de glisse, de bagarre. Nous n'avions quand même pas beaucoup de milles dans les pattes, donc on tâtonnait quand même sur pas mal de choses, et dans les phases de transition ça peut faire la différence avec les autres. Nous avons été au contact avec des bateaux tout le temps, nous avons d'abord fait le match avec Leyton, puis nous avons fini avec Solidaires en peloton - Arsep. Ils nous ont bien collé, et après ils nous ont bien dépassé, j'avoue que nous étions un peu vexés.
Les conditions de la Transat étaient quand même assez idylliques, mais tu vis comme un chien dans la niche, tu ne peux jamais être debout, c'est usant."


Benoit Marie
"Je retiens de cette Transat mon premier équateur. Il y a eu un passage à niveau au Four, à la sortie de la Manche. Les gars qui avaient quelques dizaines de mètres d'avance sont partis avec le courant, et nous l'avons payé toute la course. Sur ce bateau, nous sommes sous l'eau en permanence, c'est l'enfer, il n'y a pas un endroit dans le bateau où tu peux être bien assis, debout, allongé... A chaque fois que tu passes la tête à l'extérieur de la niche, t'en prends plein la tête, toutes les 10 secondes j'étais obligé de nettoyer mes lunettes."
21h28
Ocean Fifty

Les premières déclarations de Thibaut Vauchel-Camus et Fredéric Duthil (Solidaires en peloton - Arsep)

Thibaut Vauchel-Camus 

“C’était long. Nous avons rebaptisé cette transat la TQVP, la ‘transat qui voulait pas’. Nous avons passé notre temps à y croire, à être dans le match et à se dire que ça ne passait pas pour nous. Nous y croyons, nous revenions, jusqu’à nous prendre 300 milles de retard dans les dernières 24 heures. 

Nous avons pu faire un très beau match avec Les P’tits Doudous, avec qui nous avons pu énormément échanger à la VHF, nous nous voyons et pouvions nous raconter nos vies. Nous avons passé quatre jours à grappiller des dixièmes de milles.

Les conditions étaient certes faciles physiquement, mais c’était très difficile nerveusement parlant. C’était presque un peu frustrant car nous n’avons pas pu rentrer dans le dur, comme nous aimons tous les deux. Nous avons eu des moments durs dûs à des zones de vent mou. Ça offre un autre panel à la course au large. Il faut le prendre comme une spécificité qui a sa magie. Nous y avons toujours cru, nous n’avons pas de regrets !"

 

Fredéric Duthil 

“C’est une transat qui était en effet assez longue. Nous avons fait beaucoup de portant puisque nous avons renvoyé les voiles de portant juste après le passage de la pointe Bretagne et nous les avons affalé à l’arrivée. C’est assez étonnant de faire une transat dans ces conditions, ça nous montre que le climat ne va pas bien. Normalement, à cette période de l’année, il y a des dépressions qui passent, il y a du vent, et là nous avons fait une transat en crocs du début à la fin. 

La portion entre le Brésil et La Martinique était intéressante car nous ne l’avions jamais fait. Ça rajoute du match, encore plus du fait que les vents étaient faibles. Bravo aux gagnants, l’équipage Primonial, d’avoir mené cela tambours battants et à tous les équipages d’Ocean Fifty qui arrivent assez groupés et tous présents de l’autre côté. C’était un scénario de Solitaire du Figaro en plein mois d'août."

20h34
Ocean Fifty

Les P'tits Doudous, 5ème Ocean Fifty de la Transat Jacques Vabre

Ce mardi 23 novembre, à 15 heures 28 minutes et 22 secondes en Martinique (20 heures 28 minutes et 22 secondes, heure métropolitaine), Les P'tits Doudous a franchi la ligne d’arrivée de la 15ème édition de la Transat Jacques Vabre en cinquième position de la catégorie Ocean Fifty. Le duo Armel Tripon - Benoit Marie aura mis 16 jours 7 heures 1 minute et 22 secondes pour parcourir les 5 800 milles théoriques depuis Le Havre à la vitesse moyenne de 14,71 nœuds, mais il a réellement parcouru 6782,44 milles à 17,35 nœuds. Son écart au premier, Primonial, est de 17 heures 34 minutes et 8 secondes.
20h30
20h24
Ocean Fifty

Solidaires en Peloton - Arsep, 4ème Ocean Fifty de la Transat Jacques Vabre

Ce mardi 23 novembre, à 15 heures 16 minutes et 35 secondes en Martinique (20 heures 16 minutes et 35 secondes, heure métropolitaine), Solidaires en peloton - Arsep a franchi la ligne d’arrivée de la 15ème édition de la Transat Jacques Vabre en quatrième position de la catégorie Ocean Fifty. Le duo Thibaut Vauchel-Camus - Frédéric Duthil aura mis 16 jours 6 heures 49 minutes et 35 secondes pour parcourir les 5 800 milles théoriques depuis Le Havre à la vitesse moyenne de 14,71 nœuds, mais il a réellement parcouru 6461,46 milles à 16,53 nœuds. Son écart au premier, Primonial, est de 17 heures 22 minutes 21 secondes.

20h06

Le classement de 20h

Ultime
1. Maxi Edmond de Rothschild (arrivée le : 23/11 à 14h07HF)
2. Banque Populaire XI
3. SVR - Lazartigue

Imoca 
1. LinkedOut
2. Apivia
3. Charal 

Class40 
1. Redman 
2. Crédit Mutuel
3. Lamotte Module Création
19h46
Ocean Fifty
1 minute d'écart seulement ! Solidaires en peloton - Arsep a franchi la longitude du Rocher du Diamant à 14h33 heure locale (19h33 heure métropolitaine), et Les P'tits Doudous à 14h34 (19h34) ! Le suspense pour la 4ème place se poursuit entre ces deux Ocean Fifty, qui sont maintenant attendus sur la ligne d'arrivée à Fort-de-France aux alentours de 16h (soit 21h en métropole).
18h19
Class40

Des nouvelles du bord - message depuis Seafrigo-Sogestran

"Ca y est ! Nos neurones fument, ça sent la surchauffe !!! Jérémie vient de couler une bielle dans son cerveau tandis que Cédric a le joint de culasse qui vient de rendre l'âme… Et une question et une seule en est responsable depuis 36 heures : Devons-nous suivre le routage ou rester avec nos camarades !!!! Raaaah mais c'est pas si simple que cela et finalement après 24h de cogitation extrême, cette nuit, nous avons eu plus confiance en l'informatique qu'en nos concurrents directs. Bilan, un empannage et route au sud !!! Je ne vous accable pas avec les hauts et les bas liés à cette prise de décision durant la journée (nous n'aurions jamais dû empanner, nous nous sommes mis dans les sargasses, nous sommes à l'envers, etc...), mais au final, toute la flotte est bâbord amures désormais et il n'est pas impossible que la situation n'évolue à notre avantage… Mais arrêtons de parler stratégie et place à la bricole puisqu'au milieu de cette partie d'échec géante contre nos adversaires, il a fallu jouer du tournevis !!! Et oui, drame du matin sur Seafrigo-Sogestran : le dessalinisateur ne fonctionne plus !!!! Alors, il reste bien assez d'eau pour moi afin de rallier la Martinique, c'est plus pour Jérémie à qui il ne restait plus qu'un verre que je m'inquiétais… Déjà qu'il n'est pas bien épais, si je le ramène tout sec à ses parents, nous allons finir par être en froid… Bref, en résumé, le dessalinisateur remarche, c'était l'eau qui n'arrivait pas à lui à cause d'une panne sur la pompe sauf qu'en fait ce n'était pas la pompe mais le tuba tribord pour collecter l'eau de mer qui a vraisemblablement mangé une Sargasse et s'est bouché. En conclusion, nous utiliserons le tuba bâbord pour la fin de notre périple, Jérémie va pouvoir boire et ses parents ne renonceront pas à me faire un cadeau de Noël en décembre (@nathalie &@luc je vous envoie ma liste...). A part ces aventures, le chemin continue sur Seafrigo-Sogestran, nous ne lâchons rien, nous avons faim et soif de croquer des places sur ces derniers jours de courses ! Ced&Jer à l'attaque !”

Cédric Chateau, skipper du Class40 Seafrigo-Sogestran
17h54
Class40
17h30
Ocean Fifty

Des nouvelles du bord - note vocale depuis Groupe GCA - 1001 Sourires

"Au moment présent nous sommes à moins de 200 milles du rocher du diamant donc ça se rapproche. Je suis assez excité parce que je sais que nous allons arriver aujourd’hui. Moi j’ai une seule obsession : quand je pars en course, depuis le franchissement de ligne de départ je pense qu’à une chose, c’est la ligne d’arrivée. On me demande tout le temps mon ambition sportive mais j’ai toujours une crainte, c’est de ne pas arriver parce que pour moi le plus important c’est d’arriver et sur cette transat l’arrivée est d’autant plus emblématique parce que c’est la Martinique. J’ai beaucoup travaillé pour que la course arrive là-bas et je ne pouvais pas imaginer une seule seconde ne pas finir et ne pas franchir cette ligne d’arrivée que nous avons bâtie avec l’organisation. C’est une grosse satisfaction dans toute ma carrière sur toutes mes participations à la Jacques Vabre, j’ai dû abandonner qu’une seule fois, c’était en 2015 à cause de l’arrachement de mon flotteur sur un Ofni, j’ai plutôt un taux de réussite important. Quand on prend le départ d’une course, nous ne savons pas ce qu’il va se passer. Toute mon équipe m’attend, c’est génial de se retrouver après cette aventure, retrouver mes amis ça va être très très fort pour moi. Retrouver les Martiniquais, c’est une population que j’adore, j’ai hâte de leur faire partager ma passion, mon but est de faire en sorte que la Martinique rentre dans l’histoire de la course au large, j’ai travaillé pour que les Martiniquais soit fier de l’arrivée chez eux. Le travail pour moi ne sera pas fini après le franchissement de la ligne, je compte pérenniser cette entente. Purement sportif ce que je peux retenir c’est que le bateau est extraordinaire, certes nous ne gagnons pas la course mais quand nous regardons tout ce qui nous est arrivé, tout le retard que nous avons pris, nous arrivons pas très très loin, nous avons pu nous rendre compte que le bateau pouvait aller aussi vite que celui des premiers voir même, dans certaines situation un peu plus. Nous sommes très satisfait, nous nous sommes très très bien entendus sur le bateau et nous avons su amener la machine dans le bon, dans le bon rythme. Forcément nous avons où est-ce que nous avons pêché, en plus des problèmes météorologiques et tactiques nous avons rencontré des problèmes matériels. Notre gennaker est tombé deux fois à l’eau nous avons dû monter deux fois aux mâts mais il fallait. C’est un peu tôt pour faire le bilan général de la course mais le Havre c’était génial, le public, les habitants, les organisateurs, tout le monde peut être félicité. Ils font de plus en plus progresser l’événement. Au niveau du parcours, ça a été une course très dure et très longue. Bravo à Seb et Matthieu, je suis content qu’ils aient terminé devant les ultimes. Je les adore, je tenais à les féliciter, ils ne lâchent rien, ils n’ont fait aucune erreur, ils méritent la victoire. Cette classe des Ocean Fifty offre un magnifique spectacle, nous nous sommes serré le point au départ et nous étions dit que nous finirions tous à sept. Avec Ivan tout s’est super bien passé à bord, nous nous entendons tellement bien, nous nous sommes marrés et nous sommes déjà prêts à repartir ensemble.”

Gilles Lamiré, skipper de l'Ocean Fifty  Groupe GCA - 1001 Sourires
17h00
Class40

Des nouvelles du bord - note vocale depuis Everial

"Tout va bien pour nous, il fait super chaud. Moi qui suis breton et Mathieu qui vient de la montagne, nous aimons bien quand il fait froid, nous avons eu 24 heures d’acclimatation compliquée. Aujourd’hui ça va mieux qu’hier, heureusement nous avons un petit ventilateur USB qui nous sauve la journée. Actuellement nous avons un vent de 16 nœuds de nord-est, nous sommes sur un bord bâbord à mûr, direction sud. Nous allons empanner dans la nuit. Il fait ciel bleu avec des petits cumulus, nous n’avons pas encore eu de grains mais nous surveillons. Sur la cartographie nous pouvons avoir l’impression que nous sommes groupés mais depuis le cap finisterre, nous n’avons croisé personne, ni en visuel ni en VHF. Le long de la côte portugaise nous avons tenté quelques options et c’était pas évident de n’avoir aucun repères terrestres, le fait d’avancer dans notre coin ça n’a pas toujours bien marché. Nous étions sûrement dans les premiers à faire du Sud cette nuit, nous avons un empannage cette nuit et normalement après c’est un long bord de tribord en espérant arriver dans la nuit du 30 au 1er Décembre. La route est plus longue que prévu mais nous n’avons pas beaucoup mangé jusqu’à présent, nous avons été assez raisonnable et nous avions compté un peu plus de jour, avec de la nourriture bonus. Nous n’aurons pas de trop mais nous ne manquerons pas non plus. Il nous reste 40 litres d’eau de nos bidons d’eau et nous allons les utiliser pour prendre des douches car l’eau ne sent plus très bon. Nous avons sûrement terminé avec l’eau du désalinisateur qui fonctionne super bien. Un petit mot de la fin, le petit plant de café nous l’avions mis à Babor du bateau en se disant qu’il aurait besoin de soleil finalement nous l'avons passé à tribord parce que ça chauffe beaucoup trop.Même si c’est une plante tropicale là il fait vraiment très chaud. Gaby se porte bien et les deux marins aussi. Nous espérons avoir très vite un petit sorbet coco à l’arrivée !”

Stan Thuret, skipper du Class40 Everial
15h51
Ultime

Les premières réactions de Franck Cammas et Charles Caudrelier (Maxi Edmond de Rothschild)

Franck Cammas
"Nous n'avons pas fait beaucoup d'erreurs, le bateau s'est bien comporté. 17 jours de course à fond, et nous arrivons avec un bateau à 100% de ses moyens. Vis-à-vis de la concurrence, nous ne savions pas ce que ça allait donner, et la confiance est montée de jour en jour. Hier nous avons eu un peu de stress, avec une situation météo compliquée pour nous. Nous sommes tombés dans une zone sans vent, et derrière ils ont gagné 200 milles en 12 heures, donc nous avons commencé à avoir peur. Mais finalement ils ont eu le même problème que nous beaucoup plus tard.
Le principal pour moi, c'est de toujours avoir une victoire de plus que Charles ! [rires ; Franck compte désormais 4 victoires, Charles 3, sur la Transat Jacques Vabre, ndlr] C'est vrai que c'est une course qui nous réussit bien. Ca a été un long fleuve tranquille, même si c'est de l'attention de tous les instants. C'est facile parce que ça a été bien géré, bien préparé, bien routé, et il faudra retrouver tous ces éléments-là à chaque nouveau départ de course."


Charles Caudrelier
"Nous arrivons en forme. Nous avons eu peur une fois, car nous avons eu une casse moteur, ça voulait dire que nous n'avions plus d'énergie. Nous avons regardé pour nous arrêter au Cap Vert, mais finalement nous avons réussi à réparer. Nous n'étions pas tout le temps à 100% du potentiel du bateau, mais pas loin. Il faut aussi féliciter nos routeurs météo à terre, parce que ça n'était pas toujours simple pour eux, ils ont vraiment fait un bon boulot. C'est la première fois que je vois Franck passer aussi peu de temps à la table à cartes pour commenter les choix.
Je crois que ça ne s'est jamais aussi bien passé entre nous deux, il n'y a pas eu de mauvais moment, c'était parfait. Nous étions en confiance mutuelle, en accord sur les décisions, sur la gestion du risque, sur les choix de voiles. C'est vraiment la maturité du projet, pas seulement de nous, mais de l'équipe aussi. Ca fait 3 ans que nous mettons tout ça au point."
15h38
Ultime

Suivez en direct l'arrivée au ponton du Maxi Edmond de Rothschild

Le Maxi Edmond de Rothschild, vainqueur de la Transat Jacques Vabre 2021 en catégorie Ultime, a franchi la ligne d'arrivée à 10h16 heure locale (15h16 heure métropolitaine). Il est attendu dans quelques minutes au ponton d'honneur de la marina de Fort-de-France. Premières réactions de Franck Cammas et Charles Caudrelier à vivre en direct sur notre page Facebook.
14h55
Ultime

Maxi Edmond de Rothschild vainqueur Ultime de la Transat Jacques Vabre

Ce mardi 23 novembre, à 10 heures 16 minutes et 16 secondes en Martinique (15 heures 16 minutes et 16 secondes, heure métropolitaine), Franck Cammas et Charles Caudrelier ont franchi la ligne d’arrivée de la 15ème édition de la Transat Jacques Vabre Normandie Le Havre en première position de la catégorie Ultime. Le Maxi Edmond de Rothschild aura mis 16 jours 1 heure 49 minute et 16 secondes pour parcourir les 7500 milles théoriques depuis Le Havre à la vitesse moyenne de 20,51 nœuds, mais il a réellement parcouru 9262,13 milles à 24,01 nœuds.
14h21
Ultime
Ce mardi, à 9 heures 7 minutes et 30 secondes heure locale (14 heures 7 minutes 30 secondes, heure métropolitaine), le Maxi Edmond de Rothschild a été le premier Ultime à atteindre la longitude du Rocher du Diamant. Franck Cammas et Charles Caudrelier sont désormais attendus sur la ligne d'arrivée.
14h16

Le classement de 14h

Ultime
1. Maxi Edmond de Rothschild 
2. Banque Populaire XI
3. SVR - Lazartigue

Imoca 
1. LinkedOut
2. Apivia
3. Charal 

Class40 
1. Redman 
2. Crédit Mutuel
3. Lamotte Module Création
14h07
Imoca

Des nouvelles du bord - note vocale depuis Arkéa Paprec

"Tout va bien Port d’Arkéa Paprec, il commence à faire très chaud parce que le soleil commence à se lever dans notre dos donc il rentre directement sous les casquettes et sans air plus la chaleur, c’est difficile de tenir. Même sans bouger, nous finissons par transpirer et ça c’est très désagréable, nous avons beaucoup d’empannages à faire dans la journée donc c’est physique surtout remonter nos grands foiles, ça prend du temps et ça demande beaucoup d’efforts. Nous sommes effectivement 4ème pour le moment, nous essayons de prendre un petit peu d’avance. Après, les conditions ne sont pas simple par rapport aux premiers qui sont passés tout seul, nous nous avons eu un Pot-au-noir assez actif, sûrement le plus actifs de la flotte pour le moment donc nous sommes en train d’en sortir. Ce qui est étonnant c’est que nous attendions un vent du nord-est et nous avons encore un vent de sud-est comme si nous étions dans l’hémisphère sud, ce qui n’est pas du tout logique donc nous sommes obligés de nous battre pour garder notre place par rapport à la flotte. On s’accroche, le bateau va plutôt bien, nous essayons de le préserver parce qu’il y a beaucoup de gros grains, ce qui peut endommager les voiles. Nous restons bien concentrés, les prochains jours j’espère que nous allons retrouver du flux de nord-est pour pouvoir faire ligne droite vers la Martinique. Nous allons nous positionner au mieux pour pouvoir recevoir le meilleur vent, en espérant que ça arrive rapidement et que ce soit en notre faveur.”

Sébastien Simon, skipper de l'Imoca Arkéa Paprec 
14h00
Ultime
13h52
Ultime

Le Maxi Edmond de Rothschild en approche de Fort-de-France

Franck Cammas et Charles Caudrelier ne sont plus qu'à une vingtaine de milles de la ligne d'arrivée mouillée à l'entrée de la baie de Fort-de-France. 
13h25
Ultime
12h00
Class40

Des nouvelles du bord - message depuis La Boulangère Bio

"À bord de La Boulangère Bio, nous n'allons pas trop vite pour profiter du bonheur d'être en mer plus longtemps et nous faisons cap au sud pour éviter de voir les milles défiler trop rapidement.

Blague à part, la pénurie de chocolatines menace alors avec Marie nous restons accrochées au groupe de tête et essayons de gagner quelques milles lorsque c'est possible. Les fluctuations du vent et de la mer sont exigeantes, il faut être concentrées pour faire avancer le bateau et trouver la bonne trajectoire sur ce vaste plateau de jeu océanique.

Côté rythme, nous nous reposons le plus possible la nuit :

1. à bord nous avons tous tendance à l'oublier mais à la base la nuit, c'est fait pour cela

2. la journée il fait tellement chaud qu'il n'est pas simple de bien se reposer

3. nous aimons dormir

Mais ne vous inquiétez pas, lorsque l'une dort... L'autre veille ! Et pour tenir éveillées à 100% de nos capacités en pleine nuit, notre petit secret c'est le chocolat (un graaand merci aux parents de Kevin du 145 pour le chocolat offert au départ, si avec cela nous n’arrivons pas à rester devant lui, je ne comprends pas).

Bien que nous soyons un poil déçues de ne pas être plus à l'aise en vitesse, nous sommes convaincues que nous allons finir par trouver le mode d'emploi. La route est longue, tout reste à faire côté speed et stratégie !"

Amélie Grassi, skipper du Class40 La Boulangère Bio.

11h30
Class40

Des nouvelles du bord - message depuis Banque du Léman

"C'est un peu la guerre de Sécession ici, le nord et le sud s'affrontent... Pas question ici d'abolition de l'esclavage, juste de gagner dans l'ouest mais ce n'est pas simple, voici l'équation.

Si nous en croyons les fichiers, nous avons le choix entre une route plus courte (le nord) ou plus ventée (le sud). Le tout est donc de trouver le bon dosage là dedans. Toujours d'après ces fichiers, nous nous accordons à dire qu'à court ou moyen terme il faudra de toute façon plonger au sud... Seulement voilà, depuis plusieurs jours, nous avons l'impression qu'à chaque actualisation des fichiers, la plongée au sud est remise au lendemain, et en plus que le nord touche plus de pression que nous.

Bref, nous nous cassons bien la tête à essayer de détricoter ce bazar, nous tentons toujours de profiter des petites rotations de vent qui nous permettent de faire du sud sans perdre trop d'ouest mais nous avons la désagréable sensation que les fichiers se jouent de nous. Cela fait plusieurs fois que nous empannons, croyant que la grande bascule de vent qui nous ouvrira la porte du sud est arrivée. Mais à chaque fois, au bout de quelques dizaines de minutes, le vent retrouve sa direction d'origine et nous oblige à repartir au nord. À force d'investir dans le sud, ça agace un peu !

Sinon côté vie à bord, il commence à faire vraiment chaud ici ! Pas toujours simple de dormir dans le bateau même la nuit. L'enjeu majeur est d'arriver à garder la trappe avant ouverte afin de transformer notre four traditionnel en four à chaleur tournante, ce qui préserve un peu mieux les bouts de viandes que nous sommes... Il faut juste avoir le nez creux pour la refermer juste avant qu'une vague n'envahisse l'intérieur quand le vent remonte un peu !

Bon, je pense que je vais réveiller Simon pour empanner et repartir au nord, encore une fois, la porte du sud semble fermée..."

Valentin Gautier, skipper du Class40 Banque du Léman.

11h23
Imoca

Des nouvelles du bord - message depuis Nexans - Art & Fenêtres

"Nous avons enroulé l’île brésilienne de Fernando de Noronha dans la nuit et faisons actuellement route vers le nord-ouest et l’arc antillais. Nous enchaînons les empannages et zigzaguons le long d’une zone interdite nous empêchant d’aller proche de la côte brésilienne, au milieu des barques de pêche, chercher une accélération du courant et une rotation intéressante du vent. Après ce long run vers le Brésil, un peu de calme au portant est le bienvenu même si les conditions restent engagées. Malgré l’urgence des manœuvres, le contournement de Fernando cette nuit fut un émerveillement et donna plus que jamais envie de revenir en croisière dans ce coin de paradis. L’île nous est apparue dans un jeu de clair-obscur fascinant et merveilleux, avec quelques lumières indiquant de somptueux hôtels."

Fabrice Amedeo et  Lois Berrehar, skipper de l'Imoca Nexans - Art & Fenêtres
11h15
Class40

Des nouvelles du bord - message depuis Leclerc Samsic

"Purée de patate douce qu'il fait chaud ! Si comme Guirec Soudée je voyageais avec une poule, j'aurais largement pu cuire un œuf sur le panneau solaire ! 45°C au plus chaud aujourd'hui ! La prochaine fois, j'installe la clim et un mini bar. D'ailleurs, il y a du Ricard en Martinique ? 

Sinon, niveau régate bah nous n’avons pas choisi le bon endroit pour traverser le Cap Vert, du coup les copains sont repassés devant, et en plus ils prennent la grosse tête, ils ne répondent plus à mes messages, snif… Après une chouette dans le spi, c'est une espèce de grillon qui a élu domicile à bord ! Je vais aller me raser, on doit me confondre avec Noé là !"

Simon et Yannick Kervarrec, skippers du Class40 Leclerc Samsic.

11h00
Si cette nuit du 23 novembre 2021 a été rythmée par l’arrivée des trois premiers Ocean Fifty, 72 bateaux continuent leur course et se battent pour des places aux avants postes. En Ultime et en Imoca, l’arrivée se rapproche, les skippers ont hâte de franchir cette ligne. Ce mardi 23 novembre va être marqué par une succession d’arrivées consécutives, des trimarans de cinquante et des maxis. Les alizés basculent à l’est pour les quarante pieds qui progressent également à travers l’Atlantique et vers la Martinique.
Lire la suite 
10h30
Class40

Des nouvelles du bord - message depuis Crosscall

"Ça va pas mal à bord de Crosscall, nous nous battons pour essayer de garder le contact. Ça refuse, nous prenons, ça adonne, nous empannons... Pour optimiser le cap vers la Martinique. Quant à la stratégie à long terme, les fichiers sont tellement aux fraises sur la force du vent que c'est un peu compliqué d'aller le chercher d'un côté ou de l'autre du plan d’eau.

Sinon vous savez quoi ? Si si... Nous avons encore essayé de le réparer, oui lui, le grand spi... Pas mieux... Échec et mat ! Alors on fait du "triple" head... Nous empilons les voiles... Petit spi, J2 et Tourmentin, blanc noir orange, c'est bien joli…. Hier était une journée très intense socialement puisque nous avons croisé nos amis Jean et Rico, l'occasion d'un petit échange VHF bien sympathique, et de les féliciter pour leur belle remontada.

Au fait, nous vous voyons passer dans le ciel, à priori, il y a du mouvement entre le Havre et la Martinique !"

Aurélien Ducroz et David Sineau, skippers du Class40 Crosscall.

10h00

Le classement de 10h

Ultime
1. Maxi Edmond de Rothschild 
2. Banque Populaire XI
3. SVR - Lazartigue

Ocean Fifty 
1. Primonial (arrivée le : 23/11 à 02h54HF)
2. Koesio (arrivée le : 23/11 à 05h22HF)
3. Leyton (arrivée le : 23/11 à 06h42HF)

Imoca 
1. LinkedOut
2. Apivia
3. Charal 

Class40 
1. Redman 
2. Crédit Mutuel
3. Project Rescue Ocean
09h00
Ocean Fifty
07h45
Imoca

Des nouvelles du bord - vacation de 5h00UTC depuis Charal

"Le vent est un peu revenu depuis une heure ou deux, donc ça avance un peu mieux. Moins d’empannage mais un vent beaucoup plus instable en revanche. Je préférais plus de manoeuvres et un schéma clair. Nous sommes toujours en mode attaque, nous ne restons pas trop loin d’Apivia mais ils accentuent un peu leur avance… Nous ne baissons pas les bras pour autant, mais des bateaux à 200 milles d’avance à ce moment de la course ça va être compliqué.

Sur les trajectoires nous avons fait une belle course, et nous avons fait de bons choix. Sur les allures de puissance nous manquons un peu de performance, nous avons du mal à le combler…Mais aujourd’hui nous sommes les trois leaders détachés à l’avant de la flotte. Nous prenons beaucoup de plaisir à bord, le bateau est en super état, et c’est top d’être là pour la bagarre. Mais c’était une Transat longue donc nous serons ravis d’arriver. Nous essayons de profiter des dernières heures mais nous sommes un peu excités de retrouver la terre aussi."

Jérémie Beyou, skipper de l'Imoca Charal.

07h43
Ocean Fifty

Premières déclarations de Sam Goodchild et Aymeric Chappellier (Leyton)

Sam Goodchild 

“Nous sommes moins fatigués qu’il y a quelques jours. Après le passage de Fernando de Noronha, nous avons fait des empannages pendant deux jours le long des côtes brésiliennes pour tenter de rattraper les autres. Nous avons trouvé un bon trou de souris pour passer le Pot-au-noir, ce qui nous a permis d’avoir un meilleur angle par rapport aux autres, ça nous a ramené dans le match.

C’était notre première transat sur ce support, ce n’est pas du tout le même exercice. Ce sont des bateaux extraordinaires qui peuvent aller très vite, donc il faut faire attention. Nous avons appris énormément de choses."

 

Aymeric Chappellier 

"Nous savions d’entrée de jeu que tous les bateaux pouvaient gagner, nous avons bien vu sur l’eau qu’il y a eu pas mal de changements, donc une troisième place se savoure ! 

C’était très intenses avec tous les empannages, nous avons tout donné ! Nous savourons, tous les bateaux pouvaient gagner, il y a eu beaucoup de changements. Sur cette transat, je retiens qu’il fallait être lucide et très bon d’entrée de jeu. Les écarts se sont creusés rapidement et les deux ou trois milles perdus à Cherbourg nous ont coûté très cher. Nous sommes passés par tous nos états, de la peur, de la crainte, de la joie et celle de savoir revenir après dans le Pot-au-noir grâce à une bonne lecture de la zone de Marcel Van Triest, notre routeur.”

07h30
Imoca

Des nouvelles du bord - vacation de 4h50UTC depuis Maître Coq IV

"Nous avons eu une bonne série d’empannages, tout va bien et surtout il fait chaud ! Belle mer, beau temps, quasiment sur la route de la Martinique. Nous nous tirons pas mal la bourre tous les 3 avec Fortinet - Best Western et Prysmian Group. Ça commence à durer un peu cette Transat donc nous serons contents d’arriver, le plus dur c’est surtout la chaleur et l’humidité. 

Il y aura sûrement un changement de voile proche de l’équateur, et puis nous allons continuer à reprendre des milles surtout. En tout cas, l'ambiance est super à bord et nous tournons bien sur le bateau." 

Jean-Marie Dauris, co-skipper de l'Imoca Maître Coq IV.

07h15
Class40

Des nouvelles du bord - vacation de 4h40UTC depuis Seafrigo - Sogestran

"En ce moment les vents sont assez variables et assez est, nous avons fait pas mal de sud pour profiter de la bascule. Nous ne surveillons personne en particulier, nous essayons de bien faire avancer le bateau surtout. Nous sommes à vue de Banque du Léman et d’Edenred et c’est sympa.

Nous touchons de bonnes vitesses et on s’en sort bien par rapport aux stars de la série. Ça se passe très bien à bord mais nous n’avions pas trop de doute. Nous aimons être en mer mais les meilleures choses ont une fin, et nous avons quand même hâte d’arriver en Martinique."

Cédric Château, skipper du Class40 Seafrigo - Sogestran.

07h14
Ocean Fifty

Leyton, troisième de la Transat Jacques Vabre en Ocean Fifty

Ce mardi 23 novembre, à 1 heure 42 minutes et 43 secondes en Martinique (6 heures 42 minutes et 43 secondes en heure métropolitaine), Sam Goodchild et Aymeric Chappellier ont franchi la ligne d’arrivée de la 15ème édition de la Transat Jacques Vabre Normandie Le Havre en troisième position de la catégorie Ocean Fifty. Leyton aura mis 15 jours 17 heures 15 minutes et 43 secondes pour parcourir les 5 800 milles théoriques depuis Le Havre à la vitesse moyenne de 15,24 nœuds, mais il a réellement parcouru 6680,21 milles à 17,71 nœuds. Son écart au premier, Primonial, est de 3 heures 48 minutes et 29 secondes.
07h00
Class40

Des nouvelles du bord - Vacation de 4h30UTC depuis Saint-Yves Services Odegam

"Des conditions clémentes, nous passons un bon moment après avoir été super bien accueillis au Havre. Nous nous recalons, nous faisons un peu de sud pour toucher des Alizés. Nous surveillons nos concurrents de derrière, ils risquent de toucher les alizés en même temps que nous et de revenir, mais nous restons dans le match.

Nous faisons attention à nos ressources à bord, nous surveillons notre quantité d’eau, nous gérons tout ça. Nous devrions arriver au bout sans toucher aux réserves. Le but c'est d’arriver le plus vite possible en Martinique c’est sûr mais nous profitons bien en mer, et nous sommes accompagnés par pas mal d’animaux marins en plus."


Hervé Thomas, skipper du Class40 Saint-Yves Services Odegam.

06h37
Ocean Fifty
Sam Goodchild et Aymeric Chappellier en approche de la ligne d'arrivée ! 
06h21
Ocean Fifty

Les premières réactions de Erwan Le Roux et Xavier Macaire (Koesio)

Erwan Le Roux 

“Nous avons fait une super course avec Xavier à bord de Koesio. Nous n’avons rien lâché, nous avons animé le débat et avons joué les premiers rôles. Ça s’est ensuite joué à Tenerife, à Madère, où Primonial a choisi une autre option et a eu jusqu’à 200 milles d’avance. Ils ont super bien navigué, ils ont été vite tout le temps et ils méritent leur victoire. J’ai été subjugué par leur vitesse et par leur réussite stratégique. Bravo à eux. 

Pour qu’il y ait une belle régate, il faut des bons concurrents et je pense qu’avec Leyton, Primonial et Solidaires en Peloton - Arsep, et toute la classe de manière générale, c'était assez serré. Il n’y a pas eu de gros écarts et la régate a été intense. Cette deuxième place nous va a merveille."

 

Xavier Macaire 

“Super satisfaisant. Nous avions envie de bien faire, mais nous ne savions pas trop comment nous situer. Très vite, dès la première nuit, nous étions aux avant-postes, puis au bout de deux jours nous étions en tête. Nous y sommes restés quelques jours. Ce fut une belle aventure, un eau bateau, un beau partenaire, un beau skipper, une belle course, je suis ravi ! Je suis très content de cette participation avec Erwan, sur ce bateau formidable et ce parcours gigantesque. 

Nous avons bien donné tout en nous préservant. Une transat, c'est éprouvant. Maintenant, nous avons l’habitude et ça devient une normalité. Mais ça ce l’est pas. Ça reste une épreuve éprouvante pour le corps, la fatigue, dans des conditions humides et chaudes avec des efforts à faire dans les manoeuvres, des réflexions à avoir dans les stratégies. Pour autant, nous arrivons lucides et frais et je pense que c’est ce qu’il faut faire pour faire un résultat.

Ça fait toujours quelque chose d’arriver d’une transat, il s’est passé beaucoup de choses. C’étaient quinze jours de régate qui marquent une vie donc forcément ça fait quelque chose d’arriver."

06h00

Le classement de 6h

Ultime
1. Maxi Edmond de Rothschild 
2. Banque Populaire XI
3. SVR - Lazartigue

Ocean Fifty 
1. Primonial (arrivée le : 23/11 à 02h54HF)
2. Koesio (arrivée le : 23/11 à 05h22HF)
3. Leyton 

Imoca 
1. LinkedOut
2. Apivia
3. Charal 

Class40 
1. Redman 
2. Volvo
3. Crédit Mutuel
05h25
Ocean Fifty

Koesio deuxième de la Transat Jacques Vabre en Ocean Fifty

Ce mardi 23 novembre, à 0 heure 22 minutes et 12 secondes en Martinique (5 heures 22 minutes et 12 secondes en heure métropolitaine), Erwan Le Roux et Xavier Macaire ont franchi la ligne d’arrivée de la 15ème édition de la Transat Jacques Vabre Normandie Le Havre en 2ème position de la catégorie Ocean Fifty. Koesio aura mis 15 jours 15 heures 55 minutes et 12 secondes pour parcourir les 5 800 milles théoriques depuis Le Havre à la vitesse moyenne de 15,30 nœuds, mais il a réellement parcouru 6626,30 milles à 17,63 nœuds. Son écart au premier, Primonial, est de 2 heures 27 minutes 58 secondes.
05h09
Ocean Fifty
Koesio arrive à Fort-de-France ! 
04h16
Ocean Fifty

Koesio au Diamant, dans une heure sur la ligne

Environ deux heures après Primonial, le deuxième Ocean Fifty est au Rocher du Diamant ! Koesio, le bateau d'Erwan Le Roux et Xavier Macaire, est maintenant attendu sur la ligne d'arrivée aux alentours de 0h10 heure locale (5h10 heure métropolitaine).
03h36
Ocean Fifty
03h20
Ocean Fifty

Les premières réactions de Sébastien Rogues et Matthieu Souben (Primonial)

Sébastien Rogues

“Nous sommes heureux des efforts qui ont été menés pendant quinze jours. Nous nous sommes donnés sans rien garder. Tout ce qu’on avait nous l’avons livré sur la course et ça a payé. Puis avoir passé quinze jours sur le bateau avec Matthieu c’était génial.

La différence s’est faite dès le départ, avec cette dorsale dans le golfe de Gascogne ou certains bateaux ne se sont jamais remis. Puis elle s’est faite aux Canaries, à Madère. Ensuite, le Pot-au-noir a été compliqué avec cette onde d’est qui nous a cause beaucoup de soucis. Pour finir, la deuxième partie, ou si tu n’aimais pas les empannages, ce n’était pas une transat pour toi. C’était un peu long, il fallait sans cesse empanner, il fallait beaucoup de rigueur. Je crois que c’est un tout.

Nous arrivons avec un bateau qui n’a subi aucune casse. Je peux peut-être vous dire que nous avons perdu le capuchon du stylo, mais ça s’arrête là. C’est grâce à l’équipe qui a fait un travail exceptionnel sur le bateau depuis un an et c’est sûr que ça a énormément joué."

 

Matthieu Souben 

“Tout se relâche, l’aventure humaine, sportive, c’est plein d’émotions qui nous traversent en même temps. Je pense que nous rendons une très belle copie sur cette transat, donc c’est aussi le plaisir du travail bien fait. 

C’est toute une équipe qu’il faut féliciter aujourd’hui car nous sommes deux sur le bateau, mais il y a des gens à terre qui nous ont suivi jour et nuit, et qui étaient toujours là. 

Nous ne nous attendions pas à ce que cette course soit facile. Nous savions que cela allait se jouer à l’engagement, à la qualité des trajectoires, sur le matériel. Aujourd’hui, c’est tout cela qui paye. Nous sommes vraiment très très contents, cette victoire est belle.”

03h18
Ocean Fifty

Arrivée au ponton de Primonial en vainqueur

L'Ocean Fifty de Sébastien Rogues et Matthieu Souben a coupé la ligne il y a moins de 30 minutes, et vient désormais d'arriver au ponton d'honneur de la marina de Fort-de-France. Vivez ces instants en direct sur la page Facebook de la Transat Jacques Vabre.
02h55
Ocean Fifty

Primonial vainqueur de la Transat Jacques Vabre en Ocean Fifty !

Ce lundi 22 novembre, à 21 heures 54 minutes et 14 secondes en Martinique (mardi 23, à 2 heures 54 minutes et 14 secondes en heure métropolitaine), Sébastien Rogues et Matthieu Souben ont franchi la ligne d’arrivée de la 15ème édition de la Transat Jacques Vabre Normandie Le Havre en première position de la catégorie Ocean Fifty. Le bateau Primonial aura mis 15 jours 13 heures 27 minutes et 14 secondes pour parcourir les 5 800 milles théoriques depuis Le Havre à la vitesse moyenne de 15,40 nœuds, mais il a réellement parcouru 6536,56 milles à 17,50 nœuds.​
02h46
Ocean Fifty
 
02h25
Ocean Fifty

Suivez l'arrivée au ponton de Primonial en direct

Dans quelques minutes, Primonial passera la ligne d'arrivée située à l'entrée de la baie de Fort-de-France. Suivez l'arrivée au ponton de Sébastien Rogues et Matthieu Souben sur Facebook et Youtube
02h23
Ocean Fifty

Koesio et Leyton sont les prochains attendus

Alors que Primonial est attendu en vainqueur de la catégorie Ocean Fifty d'ici quelques minutes, ses deux poursuivants atteindront la ligne d'arrivée à Fort-de-France dans les prochaines heures. Koesio y est attendu pour 0h30 heure locale (soit 5h30 en métropole), et Leyton pour 2h heure locale (soit 7h en métropole).
02h15
Ocean Fifty
Primonial passe le Rocher du Diamant en première position ! 
01h09
Ocean Fifty

Primonial sur la ligne d'arrivée dans 2 heures !

Primonial, leader des Ocean Fifty et premier bateau à boucler la Transat Jacques Vabre 2021, est attendu sur la ligne d'arrivée, dans la baie de Fort-de-France, à 22h heure martiniquaise, soit 3h du matin heure métropolitaine.

Voir la cartographie en direct