La Transat Jacques Vabre en temps réel

jeudi 25 novembre
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22h50
Ultime

Actual Ultim 3 quatrième de la Transat Jacques Vabre

Ce jeudi 25 novembre, à 18 heures 46 minutes et 15 secondes en Martinique (23 heures 46 minutes et 15 secondes, heure métropolitaine), Actual Ultim 3 a franchi la ligne d’arrivée de la 15ème édition de la Transat Jacques Vabre en quatrième position de la catégorie Ultime. Le duo Yves Le Blévec - Anthony Marchand aura mis 18 jours 10 heures 19 minutes et 15 secondes pour parcourir les 7 900 milles théoriques depuis Le Havre à la vitesse moyenne de 17,89 nœuds, mais il a réellement parcouru 9332,54 milles à 21,10 nœuds. Son écart au premier, Maxi Edmond de Rothschild, est de 2 jours 8 heures 29 minutes 59 secondes.
18h55
Class40

Des nouvelles du bord - note vocale depuis Inter Invest

"Tout se passe super bien à bord d’Inter Invest, l’ambiance est au rendez-vous, nous ne nous sommes pas encore accroché, nous rigolons bien, nous nous tirons vers le haut, il n’y a pas eu de moments difficiles là-dessus, même quand nous sommes un peu démotivé l’un l’autre. Effectivement, nous regardons beaucoup la flotte, nous avons fait un petit tableau avec les distances qui nous séparent avec nos principaux concurrents, notamment Clown-Hop, Avanade, Vicitan. Nous regardons plus devant que derrière nous, mais il y a Vogue avec un Crohn, Everial qui croise pas très loin et qui nous a bien rattrapés. Nous avons un peu du mal à faire de la vitesse car il y a beaucoup de Sargasses mais ce n’est pas facile, en plus de ça, nous ne connaissons pas encore très bien le bateau donc il y a des moments où nous nous demandons comment nous devons le faire avancer. Au niveau des trajectoires, nous regardons bien les routages, nous essayons de bien regarder la pression. Globalement, nous allons vers la trajectoire. Nous ne sommes pas content de toutes nos trajectoires, la trajectoire est au Cap-Vert n’en parlons pas, ça c’était un désastre, nous avons tenté quelque chose et nous n’avons aucun regret, il fallait oser. Nous avons plutôt perdu des plumes que gagné du terrain mais tant pis, nous sommes bien concentrés, nous essayons de bien jouer les bascules, de nous appliquer. Ce n’est pas toujours payant, ce n'est pas toujours facile mais nous apprenons plein de choses. Nous avons hâte d’arriver, c’est quand même une transat qui est bien longue et le fait que l’alizée ne soit pas fort et bien il fait très chaud, il y a beaucoup de Sargasses, ce ne sont pas des conditions hyper facile. Après ne nous plaignons pas, il fait beau, il fait chaud, nous faisons du bateau sous Spi mais quand toutes les courses, nous avons envie d’arriver. Ça y est, tous nos copains et nos famille sont arrivés là-bas donc nous avons hâte de voir tout le monde, de débriefer et profiter."

Matthieu Perraut, skipper du Class40 Inter Invest

"Je suis en pleine lessive donc ça m’énerve parce que Mathieu me dérange souvent dans les moments-clés. Normalement nous arrivons dans 4-5 jours, nous espérons que ça suffira pour arriver devant Redman, 300 milles à gagner sur eux c’est pas grand-chose comme ils sont pas très à l’aise avec leur bateau, il y a encore des chances de se faire."

William Mathelin-Moreaux, skipper du Class40 Inter Invest
18h19
Ocean Fifty
17h50
Class40

Des nouvelles du bord - note vocale depuis Leclerc - Samsic

"L'ambiance est toujours aussi bonne avec Simon, nous sommes contents de vivre cette aventure tous les deux, nous nous entendons à merveille. Chacun a ses points forts et nous partageons en permanence notamment sur les trajectoires en ce moment. Nous avons eu une discussion aussi avec l’autre duo Père et Fils d’Antoine Magré et Olivier Magré, qui sont un peu devant et qui nous disaient que c’était un peu le Crunch Time, à quel point nous allions dans le sud avant de faire de l’Ouest. Nous avons essayé de rester en bordure de pression pour faire le moins de route possible et aller le plus vite dans l’ouest. La Jacques Vabre c’est une course transatlantique qui cette année est plutôt clémente parce que nous n’avons pas eu de grosses cartouches, mais elle est difficile en termes de météo cette année et de stratégie. Ça reste une transatlantique avec tout son lot de petits problèmes quotidiens, de petits bobos qu’il faut gérer mais ça se passe bien. Nous avons fait un routage ce matin, nous pensons arriver dans sept jours. Nous avons hâte d’arriver oui ! Hier il nous restait des biscuits Tuc que nous étions en train de manger et nous nous sommes dit «avec un petit Ricard ça aurait été pas mal», donc hâte de franchir la ligne et d’aller boire une bière fraîche. Nous avons des envies qui commencent à arriver assez forte mais nous avons de la chance, nous n’avons pas besoin de nous rationner, nous avions prévu pour 21 jours de mer puis nous avions mis une petite réserve de quatre jours de nourriture et elle va nous servir, donc nous mettrons 25 jours, nous sommes content d’avoir fait ça. Nous avons fait la même chose pour l’énergie à bord donc nous n’avons pas de soucis particuliers pour le moment. Bonne fin de journée.”

Simon Kervarrec et  Yannick Kervarrec, skippers du Class40  Leclerc - Samsic
17h15
Imoca

Des nouvelles du bord - note vocale depuis Compagnie du Lit - Jiliti

"Bienvenue à bord de la Compagnie du Lit - Jiliti, tout va super bien pour cette remontée de zone interdite, nous avons pris une option un peu plus large pour essayer d’aller chercher un peu plus de vent les prochains jours. Nous ne sommes pas en tête de la flotte mais nous en profitons pour féliciter LinkedOut qui a mené ça de main de maître. Tout va bien à bord, la chaleur est là, nous avions la chance d’avoir un petit peu de tissu, donc hier j’ai fait des rideaux pour se protéger de la chaleur. Effectivement c’est assez soutenu nous avons Groupe Sétin - 4MyPlanet, qui est 60 milles devant, avec qui nous bataillons depuis le début de la course et nous avons Time for Oceans qui est quelques milles en dessous dans notre travers, donc l’objectif c’est de rester avec ces petits copains, pour ne pas faire trop de terrain, de pouvoir en grappiller aussi et s’offrir une opportunité pour cette fin de course pour essayer de s’en faire un ou deux. Nous avons une arrivée prévue autour du 29 au soir ou 30 au matin, tout dépendra de la réalité des fichiers qui n’ont pas toujours été très exact jusqu’à présent. Nous embrassons tout le monde et à bientôt.”

Clément Giraud et  Erik Nigon; skippers de l'Imoca Compagnie du Lit - Jiliti
17h00

Le classement de 17h

Imoca 
1. LinkedOut (arrivée le jeudi 25/11 à 14h48 HF)
2. Apivia
3. Charal 

Class40 
1. Redman 
2. Volvo
3. Seafrigo - Sogestran
15h30
Imoca

Les premières réactions de Thomas Ruyant et Morgan Lagravière (LinkedOut)

Thomas Ruyant
"Beaucoup de bonheur partagé, nous avons pris beaucoup de plaisir sur l'eau avec Morgan. C'est une sacrée expérience sportive, ce sont des moments rares. Cette victoire s'est jouée depuis plusieurs mois, depuis plusieurs années, grâce à l'équipe géniale qui travaille sur ce projet. Il y a beaucoup de choses qui se sont faites avant le départ. Nous avons eu la chance d'avoir un bateau qui était ultra prêt, en lequel nous avions confiance, sur lequel nous avons pu tirer, que nous n'avons pas ménagé. Nous non plus d'ailleurs, même sur les derniers jours où nous avions un peu d'avance, nous n'avons pas lâché un mètre, nous avons mis de l'énergie du départ jusqu'au bout. Nous sommes bien cuits, la dernière session entre Fernando et l'arrivée a été longue. C'est la première fois que nous régatons sur une Transat et que nous restons aussi longtemps dans des endroits où il fait chaud, où c'est éprouvant de manoeuvrer."

Morgan Lagravière
"C'est un bon moment, gagner une course forcément ça fait toujours plaisir. Ce sont des moments de bonheur, il faut être capable d'en profiter, de savourer. Ce n'est pas seulement le résultat sportif, c'est aussi les valeurs et la dimension humaine. Nous avons bien l'intention de capitaliser sur tout ça et d'en profiter dans les prochains jours. Nous étions vraiment soudés, bienveillants l'un envers l'autre, avec une motivation commune, une grosse complémentarité, nous avons tout donné. Nous avons eu des super conditions en passant le Rocher du Diamant, c'était vraiment idéal, pour se faire plaisir, pour faire plaisir à ceux qui étaient là. De voir la terre, de voir les îles, de récupérer nos fruits, nos noix de coco, ça fait plaisir."
15h12
Imoca
14h57
Imoca

LinkedOut vainqueur de la Transat Jacques Vabre en Imoca !

Ce jeudi 25 novembre, à 9 heures 48 minutes et 10 secondes en Martinique (14 heures 48 minutes et 10 secondes, heure métropolitaine), LinkedOut a franchi la ligne d’arrivée de la 15ème édition de la Transat Jacques Vabre en première position de la catégorie Imoca. Le duo Thomas Ruyant - Morgan Lagravière aura mis 18 jours 1 heure 21 minutes et 10 secondes pour parcourir les 5 800 milles théoriques depuis Le Havre à la vitesse moyenne de 13,27 nœuds, mais il a réellement parcouru 6691,30 milles à 15,44 nœuds.
14h50
Imoca
 
13h54
Imoca
A 8h29 heure locale (soit 15h29 en métropole), l'Imoca de Thomas Ruyant et Morgan Lagravière a atteint le Rocher du Diamant, dernier point de passage obligatoire avant l'arrivée. LinkedOut est maintenant attendu sur la ligne, dans la baie de Fort-de-France, d'ici moins d'une heure, pour décrocher la victoire en 60 pieds sur cette Transat Jacques Vabre !
13h15
Imoca

Problèmes de quille pour 11th Hour Racing Team - Mālama depuis plusieurs jours

11th Hour Racing Team - Mālama tient sa 10ème place au classement Imoca, malgré des dommages subis sur sa quille il y a presque une semaine. En effet, le bateau de Charlie Enright et Pascal Bidégorry ne peut plus naviguer qu'à 70% de sa vitesse maximale. Les dommages causés par le carénage provoquent une vibration lors de la navigation à grande vitesse.

13h00

Le classement de 13h

Imoca 
1. LinkedOut
2. Apivia
3. Charal 

Class40 
1. Redman 
2. Volvo
3. Seafrigo - Sogestran
12h30
Imoca

Des nouvelles du bord - message depuis Nexans - Art & Fenêtres

"Bonjour à tous,

Après trois jours d’empannages, c'est-à-dire de zigzags, le long de la zone d’exclusion brésilienne, nous évoluons enfin en route directe vers la ligne d’arrivée. Une rotation du vent nous permet en effet de filer à bonne allure et nous sommes passés sous la barre symbolique des 1000 milles de l’arrivée ce mercredi soir. Il fait toujours aussi chaud à bord et le cadre de navigation est toujours aussi paradisiaque.

Pendant que le bateau file et que nous nous évertuons à revenir un peu sur le groupe de devant, dans les entrailles en carbone de notre destrier, deux capteurs tournent 24 heures sur 24 depuis la ligne de départ dimanche 7 novembre. Un premier capteur qui mesure le CO2, la salinité et la température en surface des océans et un second capteur de microplastiques. Toutes les 24 heures, depuis le départ, nous devons changer un jeu de filtres qui piègent différentes tailles de particules de plastiques, noter l’heure, la position et envoyer tout cela à terre. Dans quelques mois, l’Université de Bordeaux, l’Ifremer et l’IRD auront analysé ces filtres et pourront révéler le niveau de pollution au plastique de cette partie de l’Atlantique. Après le temps de l’analyse et du constat viendra celui des solutions. J’avoue être passionné par ce projet mais inquiet de la capacité de l’humanité à trouver rapidement des solutions à ce fléau qui ronge nos océans.”


Fabrice Amedeo et  Lois Berrehar, skippers de l'Imoca  Nexans - Art & Fenêtres
12h15
Class40

Des nouvelles du bord - message depuis Project Rescue Ocean

"Qu'elle est difficile à vivre cette dernière partie de course dans ces alizés faiblards ! Sans revenir une énième fois sur le sujet des sargasses qui plombent l'existence de l'ensemble de la flotte et nous empêche de barrer plus de dix minutes d'affilée sans être obligés d'aller en enlever dans le safran ou dans la quille, force est de constater que nous sommes à la peine en vitesse depuis quelques jours. Comme pour l'ensemble des choix que nous faisons en voile, celui de la carène du bateau est une histoire de compromis. Je reste ravi du choix de la mienne, qui rend le bateau globalement très polyvalent, avec un joli point fort au reaching et au portant dans la brise, notamment quand la mer se forme. Le choix de ces points forts a été dicté par une étude statistique sur les conditions rencontrées habituellement sur les transatlantiques à cette période de l'année, hors cette année et depuis le début de la course, nous enchaînons les scénarios météorologiques pour le moins originaux : petit temps autour de la pointe bretonne, essoufflement des alizés entre les Canaries et Le Cap vert, et surtout depuis quelques jours maintenant, des alizés très faibles, notamment sur une route aussi sud que celle que nous empruntons, la faute à des systèmes dépressionnaires bas en latitude qui empêchent les anticyclone des Açores et des Bermudes d'être bien en place et de générer un vent d'est soutenu des côtes africaines aux Antilles. Pas question de capitaliser sur le principal point fort de notre carène et au contraire, même si lors des calmes complets rencontrés plus tôt dans la course la polyvalence nous a aidés à sortir notre épingle du jeu, le vent de 11 à 14 nœuds qui nous accompagne depuis Le Cap Vert et probablement jusqu'à la Martinique nous donne particulièrement du fil à retordre, puisqu'il nous fait naviguer sur le véritable "point dur" de notre bateau. Les vitesses autour de 10 nœuds auxquelles nous naviguons au portant dans cette force de vent correspondent à celles où notre carène oppose un maximum de résistance à l'avancement dans l'eau, et seules les rares risées à 15-17 nœuds nous permettent de réellement démarrer et de respirer un peu avant de retomber dans l'apnée dans laquelle nous plonge le sentiment de naviguer un peu "bloqués". Nous avons tendance à dire que la vitesse rend intelligent et donne une certaine forme de clairvoyance stratégique, le manque de vitesse quant à lui nous pousse à prendre des risques et faire des choix de route moins évidents, dans l'espoir de compenser en partie ce déficit... et il s'avère que c'est rarement payant. Là où nous attendions les carènes tendues à peine dans la mer formée et surtout bien souvent croisée assez caractéristique des alizés, nous les retrouvons à la fête avec de belles vitesses et un bon angle de descente dans le vent. Nous nous raccrochons aux éléments positifs du moment, à savoir les prévisions météorologiques qui laissent entendre un léger renforcement des alizés pour cette fin de course, mais aussi et surtout à l'énorme soif de revanche nourrie par cette frustration des derniers jours… Vivement que les conditions changent !”

Axel Trehin et  Frédéric Denis, skippers du Class40  Project Rescue Ocean
12h00
Class40

Des nouvelles du bord - message depuis Milai

"Ça y est, la nuit est bien bien noire, et il en faut du temps avant que la lune tronquée ne se lève !
Difficile de barrer au vmg, bateau assez plat, sans repère visuel... Le pilote est d'astreinte chaque soir de plus en plus longtemps..
Bonne journée à bord de Milai, relais à la barre chaque heure au plus chaud de la journée, siestes moites mais profondes.
À bord nous avons chacun un calendrier de l'Avent, chocolat pour Masa, Haribo pour moi. Ce sont des cadeaux d'une amie, Yuka.
Ils nous aident bien à compter les jours de course et à nous donner un coup de pouce quand il est bien difficile de sortir de la léthargie d'une sieste.
Les chocolats de Maa sont très fondus. Nous pensions qu'il y aurait trop de cases, en fait nous allons être justes !!
Nous avons aussi été prévenus ( par Yuka), nous devons arriver avant le jour 24 !  Ce devrait donc être le jour 23...
Milai cavale pas trop mal, nous n'avons pas encore sorti la cravache..
."

Anne Beaugé, co-skipper du Class40 Milai.
11h45
La quille endommagée après avoir heurté un OFNI à 23h15 (HF), Crédit Mutuel a cédé sa place dans le haut du classement, contraint de ralentir jusqu’à La Martinique. Les Class40 s’affairent à jongler dans leurs choix de route, avec des fichiers météo peu conformes aux conditions réellement rencontrées. En Imoca, pendant que le trio LinkedOut - Apivia - Charal slalome entre les grains au large de la Martinique - ce qui retarderait potentiellement leur arrivée - la régate reste intense dans le paquet du milieu et les binômes sont concentrés sur leur vitesse.
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11h15
Class40
 
11h00
Imoca

Des nouvelles du bord - vacation de 08h40UTC depuis Corum l'Épargne

"Mer calme et conditions calmes. L’objectif numéro un c’est de rester devant le groupe qui est derrière nous, les garder à distance. Mais nous verrons selon les conditions s’il y a moyen de recoller devant. Super ambiance, nous nous relayons et ça se passe plutôt bien ! Nous essayons de faire aller le bateau le plus vite possible.

La journée il fait chaud et surtout moite dans le bateau donc pas très agréable (rire). Nous avons trouvé que le bateau avait des comportements qu’il n’avait pas avant donc c’est rassurant. Et ce qui est agréable dans ces conditions c’est que ça ne tape pas trop c’est plutôt facile à vivre dans le bateau. Ça y est, ça se rapproche enfin(rire), mais nous nous concentrons à arriver devant le paquet de derrière. En attendant, les prévisions ne sont pas fiables donc nous nous attendons à tout."

Nicolas Troussel, skipper de l'Imoca Corum l'Épargne.

10h45
Class40

Des nouvelles du bord - vacation de 08h30UTC depuis Crosscall

"Ça va chaudement et lentement, mais l’ambiance est bonne ! Nous sommes contents d’être entre potes et de faire marcher le bateau. Nous touchons actuellement 13 nœuds de vent et il tourne un peu donc nous devrions faire un bord pas trop mal jusqu’à l’arrivée. Nous sommes encore descendus dans le sud cette nuit, nous nous demandons jusqu’où ça va aller, mais ça dépend vraiment de la direction du vent. Mais investir trop pour aller le chercher ce n’est pas toujours rentable.

Nous voyons surtout revenir les bateaux de derrière… Dont Jean et Éric avec qui nous avons discuté toute une journée ! À bord c’est un sentiment partagé car nous sommes surpris de la marche du bateau malgré notre manque de spi. Ça fait donc à la fois plaisir, mais ça donne aussi des regrets. Nous avons hâte d’arriver, nos proches y sont déjà donc nous aimerions arriver avant qu’ils ne repartent (rire). Nous avons fait un inventaire il y a cinq jours et ça nous a rassuré, mais c’est pas open bar non plus !"

David Sineau, co-skipper du Class40 Crosscall.

10h30
Class40

Des nouvelles du bord - vacation de 08h20UTC depuis Up Sailing Unis pour la planète

"Nous avons de belles conditions mais un peu molles. Nous faisons abstraction du positionnement pour garder le moral, et l’option sud devrait faire la différence dans quelques jours. Nous faisons attention à nos rations, mais ça devrait le faire jusqu’à la fin. Pas de nuage et de soleil ça fatigue beaucoup, et nous devons beaucoup barrer en plus pour économiser notre carburant. Nous nous estimons chanceuses car nous n’avons pas de problèmes techniques. 

Nous allons continuer à nous battre car la route est encore longue. Nous avons vraiment hâte d’arriver mais nous profitons quand même car ça n’est pas tous les jours que nous faisons une transatlantique. Arrivées à Terre nous serons nostalgiques. Nous avons viré de bord dans la nuit, donc objectif optimisation vitesse et cap !"

Morgane Ursault Poupon, co-skipper du Class40 Up Sailing Unis pour la planète.

10h15
Class40

Des nouvelles du bord - vacation de 08h10UTC depuis Entrepreneurs pour la planète

"Le jour vient de se lever et le vent va enfin rentrer donc bonne nouvelle ! Car 10 nœuds pour l’instant, et jusque-là ça n’a été que du petit temps. Plein ouest direction la Martinique et nous essayons de rattraper nos concurrents directs. Ambiance studieuse à bord car nous sommes déçus d’être à cette place mais c’est le sport…

Le problème va être le gasoil… Mais nous espérons que ça le fasse quand même. Et au final avec la chaleur qu’il y a nous n’avons pas très très faim. Ça commence à tirer un peu, nous avons hâte d’être à terre. L’objectif c’est d’aller le plus vite possible tout droit ! Donc nous allons barrer, barrer, barrer ! Nous le faisons à l’ancienne pour la direction du vent…"

Sébastien Audigane, skipper du Class40 Entrepreneurs pour la planète.

10h03
Class40

La quille du Class40 Crédit Mutuel endommagée après avoir heurté un OFNI

A 23h15 heure française, le Class40 Crédit Mutuel de Ian Lipinski et Julien Pulvé a percuté un OFNI. La quille est endommagée. Ian et Julien vont bien, ils vont pouvoir rallier la Martinique mais à vitesse réduite. 
09h00

Le classement de 9h

Imoca 
1. LinkedOut
2. Apivia
3. Charal 

Class40 
1. Redman 
2. Volvo
3. Seafrigo - Sogestran